De la dépression à l’espérance : là où le coeur attend
Une nuit de décembre, Frédéric Boyer ne dort pas. Il sombre. « Je me traînais d’une chaise sur une autre en disant c’est fini, mais sans trouver de point final. Je n’attendais plus rien que de mélancoliques affaissements dans des fauteuils ou sur le sol d’une chambre. Mais c’est cela que…